Et si la poésie commençait juste après, après avoir cru, sublimé, après ces forêts de sapins, après les maisons de rondins, au milieu de ce vide, ce vide plein du monde ancien ?

Une forêt de sapins de Noël sonorisés. Un acteur comme un passeur portant le verbe, traduisant la langue de la forêt pour cette rencontre fragile, ténue.

Un écrin pour entendre, humer, apaiser un temps nos désenchantements.

Joël FESEL / Sébastien LANGE

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